Accessory Fix

May 22, 2015
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H&M cardigan
Banana Republic top
American Vintage skirt
Pierre Hardy heels
J. Crew bag (c/o)
Keltie Leanne Designs bracelets (c/o)

I didn’t want to love J. Crew. I really didn’t. One of my high school friends worked at Gap, and there was something about the way she preached the virtues of argyle and khaki (while absolutely denying that it was even remotely possible that Gap might use factories with poor labour standards, sometimes known as sweatshops, for their manufacturing) that made them decidedly unappealing. J. Crew was her favourite shopping destination across the border and I wanted nothing to do with it… until she dragged me in. It was August 2007 and I will never forget the blue velour blazer that stole my heart. It was out of my price range but I remember it well (and though I later got the black version, it really wasn’t the same.) I’ve been a J. Crew shopper ever since, particularly in the shoe department. The first time I was invited to a J. Crew event as a blogger was a huge moment for me… but still not as big as when the unfathomable happened a few weeks ago. J. Crew, the store whose catalogues I have saved and treasured for nearly ten years, reached out to me and asked if I would like to style a piece from their summer accessories collection. After I recovered from the ensuing heart attack, I responded with an emphatic, “YES!” And a few days later, this beautiful white tote arrived at my door. I’ve never been so happy to see our postal worker (and since he normally just brings me bills, that shouldn’t be surprising.) This beauty is going to be with me all summer – and for many summers to come, too.

Je ne voulais pas aimer J. Crew. Pas du tout. Au lycée, une de mes amies travaillait chez Gap, et sa manière de faire la morale au sujet des pulls à motif argyle (tout en s’opposant absolument à l’idée qu’il y ait la moindre possibilité que Gap fabrique ses vêtements dans des usines où les normes de travail soient pauvres) les rendaient plutôt rebutants. Lors de nos voyages aux États-Unis, elle ne ratait jamais une visite à la boutique j. Crew et donc je l’évitais à tout prix. Enfin, elle m’a trainé dedans. C’était le mois d’aout en 2007 et jamais je n’oublierais la veste en velours bleu. J’ai craqué sur le coup. Le prix n’était pas abordable, mais je me rappelle sa beauté (et bien que j’aie trouvé la version noire après, elle n’était pas la même.) Depuis, J. Crew et moi, c’est une grande histoire d’amour; j’adore surtout le rayon chaussures. La première fois que, en tant que blogueuse, j’ai reçu une invitation à une soirée J. Crew, j’étais ravie. Mais ça, c’était avant… avant le jour ou j’ai reçu le mail insondable. J’attends avec impatience les catalogues j. Crew à chaque mois depuis presque dix ans. Et la marque que j’aime tellement m’a proposé de recevoir une pièce de leur collection printemps/été. J’ai fait une petite crise cardiaque, et il m’a fallu quelques minutes afin de me remettre, mais par la suite j’ai répondu, “OUI!” Quelques jours plus tard, le facteur m’a livré ce très joli cabas blanc. (D’habitude, il n’a que des factures à m’offrir…!) Me voici donc avec mon nouveau sac d’été – et des étés que s’en viennent, aussi.
Cee Fardoe is a thirty-something Canadian blogger who splits her time between Winnipeg and Paris. She is a voracious reader, avid tea-drinker, insatiable wanderer and fashion lover who prefers to dress in black, white and gray.

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